gogozerg

Because of white flags?

Welcome to the forums. Je ne poste moi-même pas beaucoup, et la section francophone est bien dégarnie. Pour ma part, après m'être bien amusé sur la démo, ce n'est qu'àla version 0.24 que j'ai franchi le pas.

Nothing. Just as I did in the last 2 months. Still waiting for an interesting and challenging game, since career mode is a joke for now. Or a (better) simulator. At first, I loved KSP because it allowed me to understand some principles of astronautics. Then I got addicted (missions to Eve and back, resource mining, shuttles and so on). A lot of work and dedication has been put into this software and all the mods around. And many people deserve some serious credits. But I'm not interested in playing some heavily modded esoteric game, nor doing over and over the same kind of contracts. Kerbal "Space Program"? What program exactly? I was hoping this game would get a new soul with 1.0. But all I see is efforts to catch up with mandatory mods. And female aliens... Don't worry, I'm just a bit bored. KSP is like Lego, and I got a lack of imagination.

Très curieux de voir ce que ça peut donner...

Wireframe rendering would be fine for me. My imagination is the best shader.

15 km orbit around Tylo, then I separated the lander. I needed slightly more fuel than the 4 small outer tanks for landing (Poodle). Then back to the orbiting ship. Refueled the lander, waited for the transfer window, and a quick burn for the flight back to Kerbin with the lander only (still twice the fuel you need). Not optimized, too much fuel.

I'm having a similar bug(?). In my sandbox game, the conic after leaving Mün when coming back to Kerbin is never shown. Never had this in my career game.

C'est un truc que j'aime dans ce jeu, le fait de se construire un scénario, de se raconter une histoire, avec le même esprit que quand on joue aux playmobils.

Oh, I didn't know about Probe Control Room, thank you. Very nice idea, looking definitely more appealing than a god/3rd-person view.

I've been searching this thread, it seems there's a point that is rarely discussed. I really like the idea of having a more realistic link between KSC and unmanned ships. Including signal delay of course, that's what is making it so special. With RemoteTech, you can simulate signal delay from KSC to ship, but it seems nobody cares about the delay from ship to KSC. You are watching the ship and taking your decisions in real time, even if your decisions are delayed! In a way, controling an unmanned ship in stock game looks much more "realistic", just consider you're playing an evolved AI.

First try: - Mk1 lander can - 1 Rapier - First stage: wing + air breathing - Second stage: orbit, land on Mün - Third stage: back to Kerbin, soft landing using engine near KSC. - 8,3 tons. Fuel left, didn't try to optimize.

Maybe this bug is linked: http://bugs.kerbalspaceprogram.com/issues/3866

I've been using 3,75 m parts for centuries with 4x warp, and there's definitely something special here.

Same thing happens on Linux. I know time warping may be bad, but I've never seen a rocket so fragile before, especially a sturdy looking one like this.

Hello, Everytime I use it, my engine decouples! "Structural failure on linkage between S3 KS-25x4 Engine Cluster and Mk3 to 3.75m Adapter" (0.90/Win32) Am I doing something wrong? - Very simple rocket: pod+fuel+adapter+engine. - Liftoff: no problem. - Time warp 4x ---> immediate failure! Thank you.

I'm trying to use FAR, and I really like it. I still play with the standard model, it depends on the challenge, but every time I go back to stock, I think it has to be changed before 1.0.

Laissez-moi vous conter l'histoire de la sonde Pinketta (Note: c'est pour me raconter une histoire, aucun intérêt pour un joueur de KSP) Vers un nouveau défi! Il y a des années de cela, les kerbonomes virent apparaître sur leurs radars, un astre resté jusque làinconnu dans notre système. C'était une comète, qui fut aussitôt baptisée. Kayass-67 venait de commencer de hanter les esprits des scientifiques de notre planète Kerbin. Tout le monde était certain qu'il n'y avait rien àtrouver d'intéressant sur ce bolide cosmique. Mais cela n'était certainement pas un prétexte suffisant pour ne pas engager un programme spatial ruineux afin de se poser sur cette terre inconnue. Ne fut-ce que pour se prouver qu'on avait raison. Le programme de la sonde Pinketta venait de démarrer. Des débuts prometteurs Les ingénieurs se mirent àingénier. Et la première sonde fut présentée... ...et rejetée. On décida qu'il fallait prendre les choses au sérieux nom d'un petit bonhomme, alors Wernher von Kerman fut appelé àla rescousse pour prendre la direction du programme. Une sonde c'est bien joli, surtout avec un aussi beau nom que Pinketta, mais il faut déjàparvenir àla lancer sur orbite. Il fallut donc commencer par concevoir un lanceur assez puissant pour expédier suffisamment de bazar tout là-haut. Le lanceur Marianne 5, c'était: - Un moteur principal Griffon G8D et deux boosters àergol solide Thor-II, le tout pour 5 000 tonnes de poussée. - Une coiffe protectrice pour embarquer la précieuse sonde, avec un profil terriblement aérodynamique. De nombreux essais durent être réalisés. Pas vraiment concluants pour certains. Et pour d'autres, encore moins. Les lancements se succédaient, attirant àchaque fois davantage de fans émerveillés par le spectacle. Au bout d'un certain nombre de spectacles, on décida que les tests, ça suffisait comme ça. Comme on dit sur Kerbin, la malchance c'est comme la courbe du chômage, il faut bien qu'un jour elle finisse par s'inverser. La fois suivante serait donc probablement la bonne. Et n'oublions par la sonde elle-même, dont la conception posait elle aussi bien des problèmes ànos ingénieurs. En la tassant un peu sur les bords et au milieu, elle finit heureusement par intégrer son nid provisoire. Tout au fond du nid, bien au chaud, l'atterrisseur Billae devrait attendre bien longtemps le jour de sa libération. Son jour de gloire espérée, lorsqu'il devrait partir seul àl'assaut de la comète. Et un beau matin... Peu avant que Kerbol ne darde ses premiers rayons sur le pas de tir de Kouroukoukou, Marianne 5 se tenait fière et prête. Le compte-à-rebours retentit dans les haut-parleurs du centre spatial: "- H moins 60... - H moins 59... - H moins 58... - Et puis flûte, on a assez attendu. Mise àfeu!" En s'élevant, Marianne 5 entama son inclinaison gravitationnelle, tout comme on lui avait appris. Dans la fournaise aérodynamique, les boosters épuisés furent séparés, assistés par des Sepratron afin d'éviter tout nouveau spectacle. Puis le calme retentit. Désormais, c'était àPinketta de jouer. Marianne 5 la libéra. La sonde fut ravie de se désengourdir les panneaux solaires. Pinketta et Billae étaient partis pour écrire l'Histoire, dans un voyage qui allait leur faire faire le tour de l'univers (ou presque). Pendant ce temps, Marianne 5 allait se désintégrer entièrement dans l'atmosphère, ou bien s'écraser sur le ministère de l'écologie. Vers de nouveaux horizons La première manœuvre de la sonde allait consister àprofiter de l'attraction münienne pour adapter sa trajectoire en quittant l'attraction de Kerbin. Astronautiquement parlant, l'intérêt de cette stratégie était probablement discutable. Mais on ne discute pas avec les sondes. Et puis Mün, c'est tellement, tellement... Tellement gris. Et les mois passèrent. Kayass-67 poursuivait sa course effrénée dans le système Kerbol. Impossible de la rattraper simplement. Qu'auriez-vous fait avec un moteur Caniche de chez Rockomax et seulement 3630 m/s de delta-V? De plus, la comète présentait une trajectoire excentrée, et orbitait dans un plan fort décalé. Pas le choix, un catapultage gravitationnel était nécessaire, et c'était la planète Duna qui allait offrir son assistance. Ce fut une manœuvre au quart de poil (sachant que le quart de poil dans l'espace se traduit par des gains ou pertes de centaines de kilogrammes de propergol). La fameuse calotte glaciaire de Duna était toujours là. Ouf! Pas de réchauffement climatique àdéplorer. A partir de là, plus d'aide àattendre de personne. Il n'y avait qu'une chose àattendre pour Pinketta: le temps. Qui allait la rapprocher de son objectif final. Une longue hibernation, parsemée de quelques réveils afin d'opérer de menues corrections de trajectoire. 11 ans et 117 jours s'étaient alors écoulés depuis le départ de Kerbin... ...terre en vue! Un nouveau monde La sonde regardait la comète. La comète regardait la sonde. Dans ce face-à-face spécial, chacune voyait son destin s'accomplir. Billae était prêt. D'ailleurs il l'avait toujours été. Brave Billae. L'approche fut lente. La gravité au voisinage de Kayass-67 étant insignifiante, heureusement Billae disposait d'un RCS alimenté par une petite quantité de monergol. Pinketta observait le ballet de loin. Le moment était crucial. Billae ne connaissait pas la nature du sol qu'il allait percuter. Et il eût été dommage qu'il rebondisse dans le cas d'un ancrage insuffisant! Vérification des systèmes... Etat optimal! Il ne restait plus àBillae qu'àeffectuer toutes les mesures scientifiques grâce aux gadgets dont il était équipé (àla pointe de la technologie 11 ans auparavant). La sonde se chargeant de retransmettre le signal. Et maintenant. Que faire? Epilogue Les savants sur Kerbin célébrèrent leur succès. Leur théorie était vérifiée, car il n'y avait effectivement rien àtrouver sur ce caillou. Mais qui se souviendra de Pinketta? Quelque part dans l'espace, dans le temps, nos trois amis continuent leur voyage.

I wish the 64-bit version never existed. Some many crashes (in space, everywhere... at a point, I couldn't build a rover anymore), bugs with clicks. Frustration. Had to stop playing (0.24.2). Then I realized there was another version to try.

At last, I managed to leave Eve! I had been stuck on this #§$! planet for 130 years, waiting for a flight back. Guess what, the engineers who built the rescue rocket didn't even think I have a mass (even after a 130 year diet). Well, it was very very close, I had to wave my arms and pump the last drops of fuel.